Ma classe
Ma classe est une cours des miracles,
On y trouve de tout et de rien.
Des accidentés de l’école,
Qui attendent, attendent
Qui attendent sans fin la fin de l’école
Comme le prisonnier qui purge sa peine.
Mais il y a aussi le futur de l’humanité
Ceux qui finiront les recherches de leurs parents,
Eux qui ne vivent que pour le travail,
Et qui se nourrissent du savoir,
Trop souvent blâmés par les autres
Pour leur goût de se savoir si précieux.
Et les autres, dont je fait parti,
Qui ne savent pas où se mettre :
Tantôt lacés tantôt subjugués,
Qui par cette hésitation et part le système
Deviennent le plus souvent accidentés.
Vie
Vie qui es-tu ?
Vie on dit que tu es belle
Vie on dit que tu es douce
Vie es-tu réelle ?
Certain te définissent comme un cadeau
Certain te trouvent injuste.
Vie, qui es tu pour choisir nos destins ?
Vie tu es une bougie,
Qui brûle sans que l’on ne le sache.
Vie à qui laisse tu ta place
Lorsque tu nous quittent ?
Processus de marginalisation
On te regarde de haut en bas,
On te juge au premier regard,
Sur ce que tu es ou n’es pas,
Malheureusement il est trop tard,
Marginaliser sans le savoir,
Exclu sans le vouloir.
La Haine
Un homme se détruit en voulant en détruire un autre,
Ce sentiment si douloureux qui nous détruit,
Mais qui devient si bon quand le souhait est exaucé.
C’est le contraire de l’amour, l’amour lui qui est si bon,
Mais peux être si douloureux si il devient haine.
Haine, un sentiment destructeur,
Qui devrait laisser sa place à l’écriture.
Ecrire sa haine n’est pas destructeur,
C’est elle qui ma construit, le mélange si savant
De la haine et de l’écriture.
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